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La Peugeot 408 et le Renault Austral qualifiés pour les finales de la "voiture de l'année 2023"

 

Qui succédera au Kia EV6 dans l’élection de la voiture de l’année 2023 ? Les Peugeot 408 et Renault Austral sont qualifiés pour la finale, mais ils devront affronter cinq nouveautés électriques.

                                    Le Renault Austral fait partie des 7 finalistes du concours de la "voiture de l'année 2023"

 

Le Renault Austral fait partie des 7 finalistes du concours de la "voiture de l'année 2023"
 

Pour la première fois de toute l’histoire de l’élection « Car of The Year » désignant chaque année la meilleure nouveauté européenne depuis 1964, c’est un modèle coréen qui a remporté ce titre honorifique l’année dernière. Le Kia EV6 100% électrique avait en effet réussi à devancer la Renault Mégane E-Tech et le Hyundai Ioniq5, deux autres modèles à zéro émissions. Le titre de la voiture de l’année 2023 reviendra-t-il à nouveau à un véhicule électrique pour la seconde année consécutive ?

                                                        Le Jeep Avenger est-il bien placé pour devenir la voiture de l'année 2023 ?

 

Le Jeep Avenger est-il bien placé pour devenir la voiture de l'année 2023 ?

 

C’est probable puisque la liste des sept finalistes de l’élection 2023 comporte cinq modèles ne carburant pas aux énergies fossiles : le Jeep Avenger (uniquement électrique en France pour l'instant), le Kia Niro (proposant certes des versions hybrides en plus de l'électrique), le Nissan Ariya, le Volkswagen ID.Buzz et les jumeaux Toyota bZ4x et Subaru Solterra (réunis dans une seule entrée). On trouvera tout de même deux modèles équipés de motorisations thermiques, le nouveau Renault Austral et la Peugeot 408.

 

Avantage pour le Jeep Avenger ?

Alors, qui est le mieux placé pour l’emporter cette année ? Personnellement, je mettrai volontiers une petite pièce sur le Jeep Avenger : sa qualité de finition nous a un peu déçus lors du dernier mondial de l’automobile et il ne révolutionne en rien le genre avec son groupe motopropulseur identique à celui de la DS 3 restylée ou de la Peugeot E-308. Mais avec son prix de lancement sous les 40 000€ et sa philosophie en totale rupture par rapport aux précédents modèles de la marque, il risque bien de séduire le jury. Et vous, vos pronostics ?

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Pas d'hybridation pour les Alfa Romeo Giulia et Stelvio

 

Comme nous l’a expliqué le patron d’Alfa Romeo Jean-Philippe Imparato, la marque n’investira pas dans l’électrification de ses deux modèles familiaux avant leur disparition.

                        Comme le Stelvio, la Giulia restylée n'aura pas droit à l'électrification

 

Comme le Stelvio, la Giulia restylée n'aura pas droit à l'électrification
 

Alfa Romeo vient de lancer sur le marché son Tonale Q4, version hybride rechargeable du nouveau crossover compact italien. Le constructeur place même de gros espoirs dans cette nouvelle version qui va lui permettre de toucher une clientèle plus large et même les flottes d’entreprises grâce à son grammage CO2 sous les 30 g/km, permettant en France (et dans d’autres marchés) d’éviter les taxes sur les sociétés. Les versions restylées de la familiale Giulia et du SUV Stelvio, dévoilées quelques semaines plus tôt, font pourtant l’impasse sur l’électrification et se contentent de classiques motorisations thermiques.

Comme le dit Daniel Guzzafame à nos confrères de Car Expert et comme nous l’a expliqué le patron français de la marque Jean-Philippe Imparato lors de notre interview de la semaine dernière, la marque a tout simplement préféré investir dans d’autres projets que celui de l’électrification de ses Giulia et Stelvio. Il a été jugé trop coûteux de mettre au point un groupe motopropulseur hybride rechargeable avant la fin de carrière des deux modèles, et trop peu efficace de développer des variantes hybrides légères à 48 volts.

 

Les remplaçants seront 100% électriques

Au lieu de ça donc, Alfa Romeo va plutôt investir dans le développement de remplaçants 100% électriques pour ces deux modèles. Ces remplaçants n’arriveront qu’après 2025 et reposeront sur la plateforme STLA. D’ici là, la Giulia et le Stelvio devront faire avec leurs moteurs thermiques classiques, ce qui les handicapera inévitablement en Europe où il devient de plus en plus difficile de vendre ce genre de modèle.

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Skoda remporte 5 trophées lors de l’Auto Trophy 2022

 
                                             SUPERB Auto Trophy 2022  

ŠKODA est le constructeur qui a remporté le plus de victoire à l’Auto Trophy 2022.

Avec un total de cinq récompenses, ŠKODA est une fois de plus en tête du sondage des lecteurs de l’Auto Trophy 2022, réalisé par le magazine allemand spécialisé Auto Zeitung. Le KAMIQ est en tête de la liste des « SUV citadin importés de moins de 30 000€ », tandis que l’ENYAQ iV est en tête de la catégorie des « SUV électriques importés de moins de 50 000€ ». Les lecteurs ont élu la SUPERB à la première place dans deux catégories. Elle a remporté la victoire dans la catégorie des véhicules importés de taille moyenne et a également reçu le prix du meilleur rapport qualité-prix. Pour la neuvième fois consécutive, les lecteurs ont également désigné ŠKODA comme la marque importée la plus pertinente.

Cette année, 16 657 lecteurs et internautes ont participé à la 35ème édition du sondage de l’Auto Trophy, organisé par le magazine spécialisé Auto Zeitung. Les gagnants ont été sélectionnés parmi 226 modèles et 95 marques dans 32 catégories.

Le SUV urbain KAMIQ l’emporte dans la catégorie « SUV importé de moins de 30 000€ »

Avec 16,3% des votes, la ŠKODA KAMIQ termine à la première place dans la catégorie des « SUV importé de moins de 30 000€ ». Le KAMIQ combine les caractéristiques d’un SUV urbain, notamment une position de conduite plus élevée et une garde au sol supérieure, à l’agilité d’un véhicule compact et au design intemporel de ŠKODA.

L’ENYAQ iV termine premier dans la catégorie « SUV électrique importé de moins de 50 000€ »

Dans la catégorie des « SUV électriques importés de moins de 50 000€ », la ŠKODA ENYAQ iV décroche la première place. Avec 20,51% des voix, un vote sur cinq a été attribué au SUV électrique du constructeur automobile tchèque. Grâce à son habitabilité record, cinq personnes peuvent voyager confortablement à bord tout en conservant un coffre de 585 litres, qui passe à 1 710 litres lorsque les sièges arrière sont rabattus. L’ENYAQ iV s’est donc positionné comme le compagnon idéal des familles. Selon la version, le SUV dispose d’une autonomie allant jusqu’à 544 kilomètres WLTP. Avec des temps de charge réduits, l’ENYAQ iV est un excellent choix pour les longs trajets.

Deux prix pour la ŠKODA SUPERB

Les lecteurs de l’Auto Zeitung ont été impressionnés par l’équipement complet de la ŠKODA SUPERB, ses motorisations efficaces et l’habitabilité qui caractérise les véhicules ŠKODA. Elle a donc remporté deux prix pour ces caractéristiques dans le cadre de l’Auto Trophy 2022. La SUPERB a obtenu près d’un vote sur quatre (24,56%) dans la catégorie des « Voitures importées de taille moyenne », ce qui lui a permis d’atteindre la première place. En outre, avec 24,77% des votes, elle s’est positionnée en haut du podium dans la catégorie « Meilleur rapport qualité-prix 

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McLaren travaille sur une voiture familiale électrique

 

Spécialiste des supercars, McLaren travaille sur une voiture électrique capable d'accueillir plus de passagers que les modèles actuels de la marque. Une concurrente future de la Porsche Taycan, a priori.

 

                                      La McLaren Artura, une pure sportive à deux places

 

La McLaren Artura, une pure sportive à deux places
 

McLaren n'a jamais commercialisé que des voitures de route radicales à deux places. Ou à trois places, dans le cas de la mythique F1 ou de la récente Speedtail, deux supercars ultra-élitistes qui valent aujourd'hui largement plus d'un million d'euros sur le marché de la collection (surtout pour la F1).

Alors que le constructeur de Woking vient de traverser une très mauvaise passe financière, il s'est résolu à élargir sa gamme à des types de véhicules plus « grand public » et à ne plus se limiter aux voitures de sport les plus radicales. Récemment, ses communicants laissaient entendre que McLaren ne refusait plus d'entendre parler de SUV en ces temps où même Ferrari en commercialise. Et d'après l'interview du nouveau patron Michael Leiters par nos confrères anglais d'Auto Express, ses équipes planchent sur une voiture électrique à la vocation familiale ou presque.

 

Une rivale de la Porsche Taycan ?

« La technologie électrique n'est pas encore prête pour le développement d'une vraie supercar répondant à nos standards. Mais je pense qu'il est désormais possible de l'utiliser dans un véhicule à la vocation plus polyvalente et pratique, avec davantage de passagers dans la voiture. Et pas forcément assis plus haut. » De quoi imaginer une future rivale de la Porsche Taycan chez McLaren ? Pour Michael Leiters en tout cas, cette future McLaren électrique devra coûter au moins 200 000 livres sterling, soit 228 000€. Pour lui, il s'agit du prix minimum d'un modèle de la marque. Rappelons que pour l'instant, McLaren ne commercialise aucun modèle électrique et un seul véhicule hybride rechargeable, l'Artura, vendue à côté de la GT et des 720S/765 LT.

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              Les 905, 908 et 9x8 réunies à L'Aventure Peugeot

 

La spectaculaire 9X8 s'exposera tout le mois de décembre au musée de l'Aventure Peugeot, à Sochaux, aux côtés de ses glorieuses aînées.

                                                Longue de 5 mètres, large de 2,08 m et haute de 1,18 m., pour un empattement de 3,04 m, la 9x8 reçoit un V6 2,6 litres Bi-turbo développant 500kW (680ch). Celui-ci est installé dans la partie arrière. On trouve à l'avant un moteur/générateur électrique de 200kW (272 ch), et le tout se place sous l’autorité d’une boîte de vitesses séquentielle à 7 rapports.

 

Longue de 5 mètres, large de 2,08 m et haute de 1,18 m., pour un empattement de 3,04 m, la 9x8 reçoit un V6 2,6 litres Bi-turbo développant 500kW (680ch). Celui-ci est installé dans la partie arrière. On trouve à l'avant un moteur/générateur électrique de 200kW (272 ch), et le tout se place sous l’autorité d’une boîte de vitesses séquentielle à 7 rapports.
 

Le musée de l’Aventure Peugeot, association de promotion de la marque au lion, recevra une visite du marque du 2 décembre au début du mois de janvier.

La Peugeot 9X8 Hybrid Supercar, qui a débuté sa carrière cette année en championnat du monde d’endurance FIA WEC, s’y exposera en effet aux côté de deux de ses glorieuses aînées, les 905 et 908, qui sont en exposition permanente au musée.

 

Rappelons que toutes deux se sont imposées aux mythiques 24 Heures du Mans, la première en 1992 et 1993, la seconde en 2009, et il faut espérer que ce sera de bon augure pour la petite nouvelle, qui courra sa première saison pleine – et s’alignera donc au Mans – en 2023.

Pour les plus mordus d’entre nous, le musée propose aussi une soirée spéciale « Peugeot au Mans » le jeudi 1 décembre, en présence des pilotes Loïc Duval (qui courra en 9X8 l’an prochain), Eric Hélary (vainqueur au Mans 1993 en 905) et Stéphane Sarrazin, auxquels s’ajoutera Jean-Marc Finot, vice-Président de Stellantis Motorsport, qui prendront tour à tour la parole lors d’une conférence à 300 à l’heure.

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La nouvelle PEUGEOT 308 en finale du prix AUTOBEST 2023

 
                                        Peugeot 308  

La nouvelle PEUGEOT 308 est qualifiée pour la finale de l’édition 2023 du prestigieux prix AUTOBEST. Ce trophée, décerné par 31 journalistes experts indépendants européens, récompense le meilleur achat automobile – « Best Buy Car of Europe » – pour 2023.

ALLURE : La nouvelle PEUGEOT 308 retient d’abord l’attention par son design unique, sensuel et aiguisé.

EXCELLENCE : La nouvelle PEUGEOT 308 offre tout le spectre des technologies de motorisation.

EMOTION : Après plusieurs récompenses, la nouvelle 308 est en lice pour un nouveau trophée majeur.

Les 31 journalistes automobiles indépendants du jury AUTOBEST, issus de 31 pays d’Europe, ont sélectionné la nouvelle PEUGEOT 308 parmi les six modèles finalistes de ce prix réputé. A la mi-décembre, le jury de cette 22e édition décernera le titre 2023 de « Best Buy Car of Europe » – titre du meilleur achat automobile en Europe pour l’année 2023.

Lancée fin 2021, la nouvelle PEUGEOT 308 s’est déjà solidement installée dans le trio de tête des ventes européennes des compactes (segment C). Elle a déjà été distinguée par de nombreux prix, parmi lesquels le German Car of The Year 2022*, le Women’s World Car of The Year 2022, le Red Dot Award 2022 ou le Trophée de l’Argus 2022*.

Ambitieuse avec sa montée en gamme manifeste, la nouvelle PEUGEOT 308 se distingue d’abord dans un marché ultra-compétitif par sa forte personnalité esthétique, en carrosserie berline comme en break SW. Avec un design sensuel et aiguisé, la nouvelle PEUGEOT 308 est très ancrée dans l’ADN de PEUGEOT. Elle s’inscrit dans un monde de référence haut de gamme et dynamique, magnifié par un capot avant allongé, qui équilibre et tonifie ses proportions.

Pour répondre aux exigences très élevées des clients du segment C, la nouvelle PEUGEOT 308 présente des arguments forts : en particulier, son développement technologique tourné vers l’efficience permet une réduction de la consommation et limite les émissions de CO2. La gamme de motorisations est particulièrement complète, qui couvre tout le spectre des technologies : essence, diesel et hybride rechargeable ont été disponibles dès le lancement, la propulsion 100% électrique le sera dès 2023. 

Forte de ces motorisations frugales et performantes, la nouvelle PEUGEOT 308 offre un réel plaisir de conduire, encore amplifié par une gamme complète d’aides à la conduite et par une toute nouvelle interprétation technologique et esthétique du PEUGEOT i-Cockpit, mise en scène dans un environnement confortable et chaleureux.

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                La Rolls des Dacia Duster coûte 26 400€

 

Vous rêvez du nouveau Dacia Duster dans sa série limitée haut de gamme Mat Edition ? Il faudra pour cela débourser pas moins de 26 400€.

                                  Le Dacia Duster Mat Edition associe le moteur essence de 150 chevaux à une boîte automatique et un haut niveau d'équipement

 

Le Dacia Duster Mat Edition associe le moteur essence de 150 chevaux à une boîte automatique et un haut niveau d'équipement
 

Le Dacia Duster coûte actuellement 16 990€ dans sa finition d’entrée de gamme Essential avec la motorisation Eco-G 100 essence / GPL. Mais dans ses finitions plus haut de gamme avec des motorisations plus puissantes, son prix peut s’approcher des 25 000€. A l’occasion du dernier mondial de l’automobile de Paris, la marque roumaine a même dévoilé une série spéciale « Mat Edition » au positionnement encore plus « élitiste ». Elle se place au-dessus de la finition Journey+ et embarque uniquement le moteur essence de 150 chevaux accouplé à la boîte automatique EDC. Et elle s’offre carrément une peinture mate exclusive qui ne jurerait pas dans la gamme de Mercedes-AMG ou de Lamborghini !

Alors, combien pour ce Duster Mat Edition limité à 400 exemplaires ? 26 400€ tout de même. Oui, on n’avait jamais vu une addition aussi élevée pour le SUV familial compact de la division low-cost de Renault. On n’avait d’ailleurs jamais vu une Dacia aussi chère par le passé !

 

Sur internet

Rappelons que le Dacia Duster Mat Edition est uniquement commandable sur un site Internet dédié, avec un évènement en ligne qui sera spécialement organisé pour attribuer tous les exemplaires. Et que le Duster actuel de la seconde génération sera remplacé par un tout nouveau modèle d’ici l’année prochaine au plus tard. C’est en quelque sorte le baroud d’honneur de la mouture actuelle.

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Peugeot, Citroen et FIAT veulent produire des véhicules électriques en Inde

 
                               Stellantis  

Stellantis ne croit pas pouvoir fabriquer des véhicules électriques abordables en Europe. Par conséquent, elle prévoie de produire des véhicules électriques en Inde pour une exportation potentielle vers le Vieux Continent.

Lors d’une déclaration faite aux médias lors de son premier voyage en Inde depuis qu’il a pris les rênes de Stellantis, le directeur général Carlos Tavares a déclaré que la base de fournisseurs en Inde pourrait atteindre les objectifs de rapport qualité / coût du constructeur automobile d’ici la fin de 2023.

En outre, Bien que Tavares ait reconnu que l’Inde ne représente qu’une fraction des ventes mondiales de l’entreprise, il a déclaré que la marque souhaitait se procurer localement des composants pour véhicules électriques, y compris des batteries.

Par ailleurs, Stellantis a déjà confirmé qu’elle lancera un petit véhicule électrique en Inde l’année prochaine en utilisant sa plate-forme Smart Car, sur laquelle l’actuelle Citroën New C3 est basée. Le constructeur automobile prévoit également deux autres modèles Citroën basés sur la plate-forme Smart Car.

Rappelons, que Stellantis exploite actuellement deux usines d’assemblage en Inde, rapporte Auto News, ainsi qu’une usine de moteurs et un centre de technologie de l’information. Stellantis a récemment ouvert un hub logiciel à Bengalaru qui servira de centre de développement clé pour l’une des plates-formes technologiques de l’entreprise.

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Les breaks de chasse, ces splendeurs oubliées

 

Associant élégamment grâce, sportivité et praticité, les breaks de chasse ont pourtant totalement déserté la production actuelle, ou presque. Leur finesse est peut-être obscène dans une époque obsédée par les SUV…

 
 

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Qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit. Je n’ai rien contre les SUV, dont les aspects pratiques sont indiscutables. Mais je pense plutôt que la majorité de la clientèle les plébiscite car ils la rassurent tout en véhiculant une idée d'évasion. Ils sont le reflet de leur époque, tiraillée entre le désir de loisirs et… la peur ! Mais ça n’a pas toujours été le cas.

On a aimé les voitures criardes, dans les années 50-60, car on s’inspirait des USA, on a aimé les coupés dans les seventies, les GTI dans la décennie suivante, puis les monospaces et enfin les SUV. Cela dit, en marge de tous ces types de voiture, quelques esthètes ont plébiscité des breaks bien particuliers, les breaks de chasse. Des autos à la fois sportives et pratiques, élégantes et logeables, multifonctions et exclusives. Idéales pour se distinguer, mais toujours avec classe !

 

                              L'Allard P2 Safari de 1951 peut être considérée comme le premier break de chasse fabriqué par un constructeur et non un artisan. Photo : allardregister.org.

 

L'Allard P2 Safari de 1951 peut être considérée comme le premier break de chasse fabriqué par un constructeur et non un artisan. Photo : allardregister.org.

 

Dénommées « shooting brake » en anglais, les breaks de chasse ont commencé à se développer dans les années 50 outre-Manche, en se destinant d'abord à une clientèle fortunée. La première à être créée par un constructeur et non un bricoleur talentueux serait la P2 Safari de chez Allard, une marque britannique de voitures de sport très efficaces. Apparue en 1951, elle a été produite jusqu’en 1954 à… 13 exemplaires. Elle n’a guère connu de succès malheureusement.

La catégorie naissante connaît un sérieux coup de fouet grâce à Chevrolet qui, en 1955, dévoile une version break deux portes plutôt chic de sa Bel-Air, la Nomad. Sa vocation est aux loisirs sportifs et non aux tâches ingrates, comme en témoignent sa décoration soignée, sa motorisation musclée et sa publicité mettant en scène un amateur de golf plaçant les clubs dans son coffre. Un peu plus de 20 000 unités seront produites jusqu’en 1957, ce qui n’incitera pas GM à perpétuer le concept.

 

                                          La Chevrolet Bel-Air Nomad est le premier break de chasse produit en grande série, de 1955 à 1957.

 

La Chevrolet Bel-Air Nomad est le premier break de chasse produit en grande série, de 1955 à 1957.

 

Pendant ce temps, en Europe, on ignore encore la grande série pour les breaks de chasse, qui demeurent ultra-exclusifs. Aston Martin approche la catégorie avec sa DB2-4 de 1953, mais sa lunette arrière ouvrante ne dégage pas assez d’espace pour réellement être pratique. Le carrossier Radford, en 1963, dévoile une version break de chasse de la mythique DB5, mais 12 unités seulement sortiront de ses ateliers. Décidément, la formule ne prend pas !

 

                                     Radford convertit 12 Aston Martin DB5 en break de chasse, dès 1963. Une splendeur réservée à une élite.

 

Radford convertit 12 Aston Martin DB5 en break de chasse, dès 1963. Une splendeur réservée à une élite.

 

Sa démocratisation connaîtra un début avec Reliant en 1968 : il révèle sa Scimitar GTE, relativement abordable et fabuleusement bien dessinée par Ogle. Son 6-cylindres Ford l’emmène à près de 200 km/h, ce qui ne gâche rien. Cette fois, plusieurs centaines d’unités seront vendues chaque année. La princesse Margaret en raffolera !

                                                Révélée en 1968, la Reliant Scimitar GTE sera le premier break de chasse européen réellement abordable.

 

Révélée en 1968, la Reliant Scimitar GTE sera le premier break de chasse européen réellement abordable.

 

Cela dit, la popularisation du shooting brake européen revient à Volvo, qui présente sa P1800 ES en 1971. Solide, bien motorisée avec son increvable 2,0 l à injection de 125 ch, rapide et élégante, elle est très désirable ! 8 078 unités seront vendues jusqu’en 1973, surtout aux USA, malgré une technologie globalement ancienne.

                                         Beaucoup considèrent la P1800 ES comme la plus belle de Volvo. C'est en tout cas l'une des plus originales !

 

Beaucoup considèrent la P1800 ES comme la plus belle de Volvo. C'est en tout cas l'une des plus originales !

 

C’est plus que pour la très originale Lotus Elite de 1974, nettement plus sportive avec son 2,0 l double arbre à 16 soupapes (160 ch) qui lui fait passer les 200 km/h. Ses projecteurs « pop-up » ajoutent à son caractère exotique, mais sa qualité insuffisante et son prix élevé joueront contre elle.

 

                                             Séduisante sportive que la Lotus Elite, ici en 1974. Rapide et raffinée, elle manque de qualité, ce qui l'handicapera.

 

Séduisante sportive que la Lotus Elite, ici en 1974. Rapide et raffinée, elle manque de qualité, ce qui l'handicapera.

 

Les années 70 sont décidément celles des breaks de chasse puisque Jensen présente en 1975  une variante GT de la Jensen-Healey qui se vend mal, à cause notamment de son fragile moteur Lotus (proche de celui de l’Elite). Malgré son concept, la Jensen GT n’aura pas plus de succès, puisque moins de 500 seront produites.

 

                                            Malgré son concept de break de chasse et son moteur Lotus, la Jensen GT, ici en 1975, se vendra très mal.

 

Malgré son concept de break de chasse et son moteur Lotus, la Jensen GT, ici en 1975, se vendra très mal.

 

Seulement, cette année-là, c’est au tour de Lancia de présenter son break de chasse : la Beta HPE (High Performance Estate). Cette fois, c’est la bonne. Produite par un constructeur de grande série, la HPE bénéficie d’une technologie de haut niveau (moteurs double-arbre, traction, liaisons au sol très soignées) et d’une ligne on ne peut plus charmeuse. Surtout, son coffre se révèle très bien conçu : vrai hayon (et non simple lunette ouvrante), seuil bas, banquette rabattable, importante longueur de chargement. Pratique, performante et raffinée, la Beta HPE sera commercialisée jusqu’en 1984, bénéficiant même en 1982 d’un compresseur Volumex boostant la puissance de son 2,0 l à 135 ch. Plus de 70 000 unités seront produites. Seulement, après elle… plus rien ne sortira durant la décennie 70 !

 

                                           Apparue en 1975, la Lancia Beta HPE est certainement le break de chasse le mieux conçu qui soit. Encore aujourd'hui !

 

Apparue en 1975, la Lancia Beta HPE est certainement le break de chasse le mieux conçu qui soit. Encore aujourd'hui !

 

On devra attendre 1985 pour qu’un autre grand généraliste présente un break de chasse qui, lui aussi, se révèle particulièrement goûteux : Honda, avec l’Accord Aerodeck. Le japonais s’est fendu de magnifiques trains roulants à double triangulation avant/arrière qui feront école ainsi que d’un hayon qui empiète élégamment sur le toit pour agrandir l'accès au coffre. Malheureusement, celui-ci manque d’ampleur et pâtit d'un seuil trop haut, donc l’auto ne trouve pas vraiment son public. Elle est retirée en 1989.

 

                                          Séduisante proposition que la sophistiquée Honda Accord Aerodeck, lancée 1985. Malheureusement, son coffre mal foutu compromettra sa carrière.

 

Séduisante proposition que la sophistiquée Honda Accord Aerodeck, lancée 1985. Malheureusement, son coffre mal foutu compromettra sa carrière.

 

Que reste-t-il aux amateurs du genre ? La Volvo 480 ES, lancée, elle aussi, en 1985. Nantie d’une ligne ultramoderne et pourtant aguicheuse avec ses phares pop-up, elle demeure cependant banale d’un point de vue technique, récupérant le 1,7 l inauguré par la Renault 11 et se contentant d'un essieu arrière rigide. Néanmoins, la suédoise fabriquée aux Pays-Bas se vendra à plus de 75 000 exemplaires jusqu’en 1995, non sans avoir bénéficié d’un turbo. Volvo ne la remplacera malheureusement pas.

 

                                             Volvo réussit son retour dans la catégorie des breaks de chasse avec sa 480 ES fin 1985. Elle sera la plus produite de la catégorie.

 

Volvo réussit son retour dans la catégorie des breaks de chasse avec sa 480 ES fin 1985. Elle sera la plus produite de la catégorie.

 

Pour s'offrir un break de chasse, à condition d’être fortuné, on pourra toujours faire convertir une Jaguar XJ-S d’occasion chez Lynx, qui propose le sublime shooting brake Eventer, peut-être le plus beau jamais dessiné !

 

                                           Splendeur totale que la Lynx Eventer, sur base Jaguar XJ-S. Lancée en 1982, cette conversion équipera 67 autos, toutes réalisées par le même technicien.

 

Splendeur totale que la Lynx Eventer, sur base Jaguar XJ-S. Lancée en 1982, cette conversion équipera 67 autos, toutes réalisées par le même technicien.

 

Davantage en tout cas que la Aston Martin Virage Shooting Brake, alléchante mais lourde, aux feux arrière de Renault 21 Nevada. Six seulement seront produits entre 1989 et 1995…

 

                                             L'Aston Martin Virage Shooting Brake est diablement séduisante malgré sa poupe un peu lourde.

 

L'Aston Martin Virage Shooting Brake est diablement séduisante malgré sa poupe un peu lourde.

 

Ensuite ? Eh bien ce sera le calme plat chez les breaks de chasse. La BMW Z3 Coupé ? Elle ne comporte que deux places et se satisfait d’un coffre réduit. On peut toutefois citer la Mini R56 Clubman de 2006, sorte de version break de la Mini Coach. Très stylée, elle dissimule une porte latérale à  ouverture antagoniste, côté droit. Une petite auto diablement intéressante pour les esthètes !

 

                                       Oui, la Mini R56 Clubman, de 2006, peut être considérée comme un break de chasse, malgré sa porte droite latérale. Mais celle-ci est dissimulée.

 

Oui, la Mini R56 Clubman, de 2006, peut être considérée comme un break de chasse, malgré sa porte droite latérale. Mais celle-ci est dissimulée.

 

Le dernier à présenter un break de chasse sera Ferrari en 2011 avec sa très originale FF à quatre roues motrices. Plus décalée que réellement élégante, elle propose un très savoureux mix de prestige, de performances exceptionnelles (elle a un fabuleux V12 de 660 ch) et de praticité. Elle sera remplacée en 2016 par la GTC4 Lusso, qui en est une évolution.

 

 

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Apparue en 2011, la Ferrari FF est le dernier break de chasse mis sur le marché. La GTC4 Lusso qui lui succèdera n'en sera qu'une évolution.

 

Celle-ci vient de céder sa place à devinez quoi ? Un SUV, le Purosangue, certes magnifiquement dessiné. Et toujours nanti d’un incroyable V12 atmo ! Mais pour qui veut un vrai break de chasse, il n’y a plus rien, même si Mercedes nomme Shooting Brake sa CLA break. Mais avec ses cinq portes, elle ne correspond pas exactement au genre…

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      La future Peugeot 508 restylée résistera-t-elle à la 408 ?

 

Maintenant que la Peugeot 408 a été lancée, la grande 508 va-t-elle garder de l’intérêt auprès de la clientèle ? La berline doit passer par la case restylage d’ici l’année prochaine.

          La future Peugeot 508 restylée, imaginée virtuellement par les illustrateurs de Kolesa

 

La future Peugeot 508 restylée, imaginée virtuellement par les illustrateurs de Kolesa
 

Tout le monde le sait, les berlines « à l’ancienne » se vendent de moins en moins. Lancée sur le marché en 2018, l’actuelle Peugeot 508 de seconde génération n’échappe malheureusement pas à ce constat. Et ce n’est pas l’arrivée de la 408 qui va arranger les choses : avec sa longueur de 4,69 mètres (contre 4,75 à la 508), cette dernière risque d’attirer plus de clients grâce à son style à mi-chemin entre la berline et le SUV. Un genre de silhouette dont le potentiel de ventes paraît bien supérieur à celui d’une vraie berline, surtout qu’elle offre une habitabilité intérieure à la pointe.

 

                                            La partie arrière de la Peugeot 508 restylée ne devrait pas beaucoup évoluer

 

La partie arrière de la Peugeot 508 restylée ne devrait pas beaucoup évoluer

 

Cette 508 de seconde génération doit cependant passer par la case restylage avant d’aller vers la fin de sa carrière. Les illustrateurs de Kolesa se sont justement penchés sur le sujet en imaginant virtuellement la future version « phase 2 » de la berline française. Ils s’inspirent logiquement du style des dernières nouveautés de la marque, 408 en tête (surtout au niveau de la calandre).

 

Toujours pas de gros moteur thermique ?

Sous le capot, la 508 restylée conservera ses versions hybrides rechargeables et proposera sans doute aussi les nouvelles versions à hybridation légère inaugurée par les 3008 et 5008 à partir du début de l’année 2023. En revanche, elle devrait elle aussi faire l’impasse sur les gros moteurs thermiques et restera vraisemblablement limitée à 1,6 litre en cylindrée. Rappelons que ce dernier moteur développe 200 chevaux sous le capot de la version PSE actuelle, produisant une puissance maximale de 360 chevaux grâce à un moteur électrique. La 508 restylée sera présentée l’année prochaine.

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             BMW très critique sur les prochaines normes Euro7

 

Même si les normes Euro7 sont finalement moins drastiques que prévu pour les constructeurs automobiles en matière d’émissions polluantes, BMW estime qu’elles vont augmenter le prix des voitures dans de grosses proportions pour rien.

                                         Un exemplaire de la toute nouvelle BMW i7 haut de gamme

 

Un exemplaire de la toute nouvelle BMW i7 haut de gamme
 

Il y a quelques jours, la commission européenne donnait enfin le contour de la future réglementation Euro7 appelée à remplacer les normes actuelles fixant les seuils maximums de pollution à respecter pour les constructeurs automobiles. Si ces futures normes seront assez contraignantes pour les fabricants de camion, les voitures sont relativement épargnées en attendant le brusque changement de 2035 et l’interdiction des véhicules thermiques. Le législateur explique d’ailleurs avoir voulu de cette façon laisser du temps aux marques pour s’adapter.

Chez BMW pourtant, on estime que cette norme Euro7 est déjà trop contraignante. Le directeur du groupe allemand Nicolas Peter vient en effet de déclarer à nos confrères des Echos que les seuils d’émissions demandés seront très restrictifs dans certaines situations précises : « Le projet de norme Euro7 prévoit de réduire les émissions dans des situations très rares, comme celle où une voiture doit monter un col de montagne en tractant une caravane à fond. Pour arriver aux niveaux demandés dans ce genre de cas de figure, les constructeurs automobiles vont devoir réaliser de gros investissements et cela se répercutera inévitablement sur le prix des voitures », affirme Nicolas Peter.

 

S’intéresser plutôt aux situations de conduite les plus courantes ?

Nicolas Peter dit qu’il préférerait qu’on demande aux constructeurs de continuer à baisser les émissions et la pollution dans les situations de conduite les plus courantes, « ce que couvre déjà la norme Euro6d à 95% » d’après lui. Il laisse entendre que cela aurait plus d’effet sur la réduction des émissions que ce que prévoit la norme Euro7, focalisée sur des situations beaucoup moins courantes. Rappelons que la norme Euro7 rentrera en application en 2025 sur le Vieux Continent.

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Editions Spéciales des CUPRA Formentor et Ateca, inspirées par les pionniers de la CUPRA Tribe

 
                                                  CUPRA Formentor Tribe  

CUPRA a conçu deux éditions spéciales Tribe de ses modèles Formentor et Ateca, qui ont été créées à Barcelone par la CUPRA Tribe. Les deux véhicules incarnent les valeurs de la tribu, en proposant un design qui est à la fois original et dynamique, mais aussi exclusif et contemporain.

Les membres de la CUPRA Tribe sont des acteurs du changement, des individus qui partagent des coutumes, des valeurs, des tendances, un esprit ou encore une attitude. Les CUPRA Formentor et Ateca Tribe Edition reflètent leur passion et leur volonté de défier les conventions.

Les CUPRA Formentor et Ateca Tribe Edition reprennent les caractéristiques individuelles de chaque véhicule, tout en ajoutant un nouveau style. Pour ce faire, elles insufflent une nouvelle approche à chacun des deux modèles avec de nouveaux coloris, de nouvelles jantes en alliage, ainsi que des éléments de design intérieur et extérieur.

« La CUPRA Tribe incarne parfaitement la marque et souligne sa détermination à être un challenger non conventionnel, qui prend des risques et qui crée de nouvelles choses « , a déclaré Antonino Labate, Directeur de la Stratégie, du Développement Commercial et des Opérations de CUPRA dans le monde. « Les versions Tribe Edition des CUPRA Formentor et Ateca illustrent l’esprit du mouvement, qui a été créé à Barcelone par la CUPRA Tribe ».

Les versions Tribe Edition

Disponible pour toutes les motorisations VZ, allant de 245 à 310 chevaux, la CUPRA Formentor Tribe Edition ajoute encore plus d’exclusivité au premier véhicule conçu et développé exclusivement pour la marque, en renforçant son caractère de SUV coupé hautes performances.

Qu’il s’agisse du lettrage CUPRA en chrome foncé, de la calandre, des coques des rétroviseurs extérieurs, des arches de roues, des bas de caisses et bas de pare-chocs avant et arrière ou encore des jantes en alliage de 19 pouces en noir mat sport, les nouveaux éléments de design extérieur noirs accentuent son caractère déjà bien marqué.

Et le style est encore renforcé par le lancement de la nouvelle couleur exclusive Gris Falaise, qui ajoute une nouvelle dimension par rapport à l’option Noir Minuit. Mais les améliorations ne se limitent pas seulement à l’extérieur du véhicule.

À bord, la CUPRA Formentor Tribe Edition bénéficie d’une nouvelle ambiance plus exclusive avec des sièges spéciaux en suédine et en cuir Nappa Noir Asphalte, mais aussi un pédalier en aluminium foncé. Ces éléments soulignent le sens de la modernité et la sportivité du véhicule, avec une interprétation unique de la marque CUPRA.

La version Tribe Edition de la CUPRA Ateca s’appuie quant à elle sur des bases déjà solides, afin de conférer encore plus de profondeur à son impressionnant style extérieur, tout en renforçant le design audacieux de son habitacle.

Grâce à de nouvelles jantes exclusives de 20 pouces en alliage bi ton noir mat et Copper (répondant aux étriers de freins avant BREMBO® Copper), ainsi qu’au lettrage CUPRA en chrome noir, les coloris Noir Magique et Gris Caïman distinguent la version Tribe Edition des itérations précédentes. Ils ajoutent un soupçon supplémentaire de sophistication et de caractère.

Le véhicule profite en outre de changements subtils dans son habitacle avec des sièges baquets en suédine bicolore Noir Asphalte et Gris Shark, qui accueilleront confortablement le conducteur et le passager avant.

En outre, les clients français bénéficieront d’équipements de série supplémentaires comme le volant Supersports CUPRA avec boutons satellites, le Travel Assist, les projecteurs MATRIX LED et le célèbre système d’échappement sport AKRAPOVIĆ qui transforme la sonorité du moteur 2.0 TSI de l’Ateca en la rendant encore plus émotionnelle.

Les commandes de la CUPRA Formentor et de l’Ateca Tribe Edition ouvriront au début de l’année 2023.

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            Tesla préparerait une Model 3 améliorée pour 2023

 

La berline familiale de Tesla va bientôt recevoir de grosses améliorations. Le nom de code de cette future électrique ? « Project Highland ».

                           Lancée en 2018, la Tesla Model 3 se prépare à recevoir des améliorations significatives

 

Lancée en 2018, la Tesla Model 3 se prépare à recevoir des améliorations significatives
 

La Tesla Model 3 a été officiellement lancée à la fin de l’année 2017 aux Etats-Unis. Premier modèle véritablement grand public de Tesla et sauveur de la marque qui a enfin fait des bénéfices grâce à lui, il est arrivé sur le marché européen en 2018. Devenue très vite la meilleure vente de Tesla mais doublée il y a peu par le SUV Model Y reprenant sa base technique, cette Model 3 se prépare à recevoir de grosses améliorations après bientôt cinq ans de carrière.

Ce sont les journalistes de Reuters qui l’annoncent, citant quatre sources internes. La version améliorée de la Model 3 serait actuellement développée par Tesla sous le nom de « Project Highland », avec une approche similaire à celle des récents Model S et X restylés. Au menu des nouveautés, la Model 3 retravaillée bénéficiera d’un groupe motopropulseur modifié. Si le constructeur américain fait comme pour ses deux récentes nouveautés, il apportera aussi des nouveautés esthétiques à l’extérieur et à l’intérieur de la voiture.

 

Produite en Chine et aux Etats-Unis

Toujours d’après les sources de Reuters, la future Model 3 améliorée sera produite en Chine et aux Etats-Unis mais pas en Europe, où sont actuellement assemblés les Model Y Performance et Grande Autonomie dans la gigafactory de Berlin. La production de la Model 3 améliorée débuterait dès le premier trimestre 2023 en Chine, si les sources de Reuters disent vrai. Et comme le Model Y reprend les mêmes éléments techniques que la Model 3, gageons que ce restylage le concernera aussi un peu plus tard. Rappelons que les Model S et X, basés sur une autre architecture commune, ont été restylés ensemble l'année dernière.

 
 
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Dacia Sandero : voici la meilleure alternative, à moins de 13.000 € !

 
                                        Dacia Sandero  

La Dacia Sandero peut continuer à se vanter d’être l’un des modèles les plus vendus en Europe. La citadine roumaine, qui, peu importe à quel point elle a vu son prix augmenter ces dernières années, reste un choix très rationnel. 

Dacia a franchi une étape importante à tous points de vue, tant en termes de design qu’au niveau et des équipements de sécurité. Néanmoins, en dépit de son prix très attractive, la Sandero a une rivale très coriace, en l’occurrence la MG ZS. La MG ZS était, le mois d’octobre dernier, le 12e modèle le plus vendu en Espagne et a réussit à immatriculer 4 305 MG de janvier à juin 2022 (+155 %) en France.

En effet, comme on peut le voir sur le site espagnol quecochemecompro.com, le prix de départ de la version la plus basique de cette MG ZS est de 12 950 €, soit moins de 200 € du prix de la Dacia Sandero (dans le même pays).

La MG est un modèle jouissant d’une carrosserie de type SUV, un segment très à la mode en France et en Europe. Ce SUV est animé par un moteur plus puissant, il offre également plus d’espace pour les occupants et une capacité de charge améliorée.

Aujourd’hui, 78% des départements français sont couverts et 142 points de distribution sont opérationnels ou ouvriront leurs portes dans les prochaines semaines. MG EHS et MG ZS, se classent ainsi respectivement dans le top 10 et top 15 des modèles les plus vendus en France pour les énergies Hybrides rechargeables et 100% Electriques.

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          Audi RS 6 & RS 7 Performance (2023), au sommet

 

Modèles les plus puissants jamais vendus par Audi, les nouvelles RS 6 Avant et RS 7 Performance développent 630 chevaux. Elles s’attaquent aux BMW M5 et M8 Compétition et à la Mercedes-AMG E63 S.

                            Les nouvelles Audi RS 6 Avant et RS 7 Performance chapeauteront désormais la gamme Audi Sport

 

Les nouvelles Audi RS 6 Avant et RS 7 Performance chapeauteront désormais la gamme Audi Sport
 

 

Jusqu’à présent, les Audi RS 6 Avant et RS 7 Sportback devaient se « contenter » d’un V8 bi-turbo de 4,0 litres développant 600 chevaux tout rond et 800 Nm de couple. Un peu juste pour lutter avec les familiales les plus puissantes de la concurrence, sachant que les BMW M5 et M8 Gran Coupe développent 625 chevaux en version Compétition (et même 635 chevaux pour la M5 CS). Voilà pourquoi Audi Sport lève le voile sur les versions Performance du break et de la berline, dont le V8 est poussé à 630 chevaux et 850 Nm de couple. Ce moteur reste un peu moins puissant que sous le capot du Porsche Cayenne GT (640 chevaux) ou celui du Lamborghini Urus Performante (666 chevaux), mais il permet aux deux Allemandes d’expédier le 0 à 100 km/h en 3,4 secondes au lieu de 3,6 secondes. Ca commence à aller vite, même si la BMW M5 Compétition garde un petit avantage (3,3 secondes) et que la M5 CS reste devant grâce à ses pneus plus radicaux (3,0 secondes).

 

                                   En version Performance, la RS 6 Avant abat le 0 à 100 km/h en 3,4 secondes

 

En version Performance, la RS 6 Avant abat le 0 à 100 km/h en 3,4 secondes

 

Pour arriver à ces chiffres, le V8 augmente la pression de suralimentation de ses turbos (2,6 bars au lieu de 2,4 pour les versions normales).  Les deux autos évoluent aussi un peu au niveau de la transmission, avec un différentiel central autobloquant plus compact et léger. En option, elles peuvent par ailleurs s’équiper de jantes de 22 pouces permettant de gagner au total 20 kg sur la balance, chaussées de nouveaux pneus Continental SportContact7 conçus sur-mesure. Le Pack Dynamic RS incluant les roues arrière directrices et la bride de vitesse maximale relevée à 280 km/h est fourni de série, mais pas le Pack Dynamic RS Plus ajoutant les gros freins carbone-céramique de 440 mm à l’avant (370 mm à l’arrière) en plus d’une bride de vitesse repoussée à 305 km/h.

 

                                         A l'intérieur, le combiné d'instrumentation évolue un peu lorsque la boîte est programmée en mode manuel

 

A l'intérieur, le combiné d'instrumentation évolue un peu lorsque la boîte est programmée en mode manuel

Les plus puissantes Audi de l’histoire

Disponibles avec de nouveaux coloris extérieurs mats, ces RS 6 Avant et RS 7 Sportback Performance sont les Audi les plus puissantes jamais commercialisées : l’Audi R8 GT se contente de 620 chevaux (comme la R8 Performance) et la RS e-tron GT électrique ne produit « que » 598 chevaux en permanence (mais 646 chevaux uniquement pendant la procédure du launch control). La RS6 Avant Performance est facturée 146 450€ et la RS7 Sportback Performante 152 720€. On rappelle qu’une RS 6 Avant de « base » coûte 140 740€ et que la RS 7 Sportback démarre à 147 100€. Il ne s’agira pas de séries limitées et les modèles « non Performance » resteront au catalogue.

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Lancia présente une voiture sans roues et son nouveau logo

 

En attendant les vraies voitures, Lancia lève le voile sur son nouveau logo et une étrange sculpture inspirée de la légendaire Stratos et de son concept-car originel.

Ceci n'est ni une pipe, ni une vraie voiture

 

Ceci n'est ni une pipe, ni une vraie voiture
 

Maintenant qu’elle est intégrée au groupe Stellantis fusion de PSA et de FCA Automobile, Lancia ne va pas mourir. Carlos Tavares veut sauver la marque turinoise, en déliquescence depuis quelques années après des manipulations hasardeuses entreprises lors des deux dernières décennies (personne n’a oublié les dernières Thema, Voyager et Flavia). Alors qu’elle ne commercialise actuellement plus qu’un seul modèle -la vénérable Ypsilon- en Italie, Lancia prépare son retour avec une vraie gamme de nouveautés.

                                  Voici le nouveau logo de Lancia, qui se retrouvera sur les trois futurs modèles de la marque

 

Voici le nouveau logo de Lancia, qui se retrouvera sur les trois futurs modèles de la marque

 

S’il faudra attendre l’année 2024 pour découvrir la première de ces nouveautés, la toute nouvelle Ypsilon conçue sur une base proche de celle des Peugeot 208 et autres Opel Corsa actuelles, le constructeur dévoile déjà son nouveau logo et en profite pour montrer une étrange sculpture sans roues ni fenêtres. Inspirée de la silhouette très particulière de la légendaire Stratos, cette sculpture annonce les éléments de style des futures Lancia de route. Certes, la prochaine Ypsilon affichera un tout autre profil…

 

                                            Il y a un peu de Stratos dans cette sculpture Pu+Ra Zero

 

Il y a un peu de Stratos dans cette sculpture Pu+Ra Zero

Trois nouvelles Lancia

Après l’Ypsilon de 2024, Lancia lancera une toute nouvelle Aurelia en 2026 probablement sous les traits d’un SUV puis une Delta compacte en 2028. La marque compte devenir 100% électrique d’ici 2026, ce qui laisse supposer que les deux dernières nouveautés citées n’offriront pas de version thermique.

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TOP 10 des citadines essence les plus sobres : le classement

 

En France, le classement des ventes de la catégorie des citadines place en première position la Peugeot 208, loin devant les Dacia Sandero, Renault Clio et Citroën C3. Pour notre TOP 10 des citadines à moteur essence qui consomment le moins, le classement n’est pas du tout le même, la Peugeot 208 n’arrivant qu’en sixième position. Ce sont des citadines japonaises qui trustent les premières places

 

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations
 

Dans le secteur des citadines, les places sont chères et pour être les plus attrayantes possibles, ces petites autos s’équipent comme des grandes et deviennent de plus en plus polyvalentes. Lorsqu’arrive l’heure du choix, de nombreux critères entrent en ligne de jeu : le prix, l’équipement, l’habitabilité mais également le coût de revient. Dans ce dernier critère, la consommation tient une place de choix. C’est pourquoi nous vous proposons aujourd’hui, ce TOP 10 des citadines polyvalentes à moteur essence qui consomment le moins.

Première observation de ce TOP 10 des citadines polyvalentes à moteur essence qui consomment le moins, ce sont les hybrides qui se taillent la part du lion. Les cousines techniques Toyota Yaris 116 h hybride et nouvelle Mazda 2 Hybrid qui sont à égalité sur la première marche du podium, la Honda Jazz e-HEV, hybride elle aussi, occupe la troisième place. Du fait d’une puissance moteur trop élevée (145 ch), la Renault Clio E-Tech n’a pas pu participer à ce TOP 10 qui ne prend pas en compte les moteurs essence dont la puissance est supérieure à 120 ch, dommage, car c’est elle qui se serait classée avec une consommation mixte de 4,2 l à la troisième place. Pour trouver la première citadine française, il faut regarder à la sixième place qu’occupe la Peugeot 208 avec 5 litres/100 km de carburant.

 

Pour ce TOP 10, s’il y avait plusieurs moteurs qui répondaient à nos critères de puissance, nous avons choisi celui qui consommait le moins. De même, la transmission choisie est souvent manuelle, car avec une boîte automatique (CVT ou robotisée) la consommation est souvent plus élevée. Enfin, les modèles typés baroudeur (il y en a trois dans notre panel), souvent plus lourds et plus hauts consomment également plus. Voici le classement de ce nouveau TOP 10…

Le TOP 10

Première place ex aequo – Mazda 2 Hybrid et Toyota Yaris 116h Hybride

 

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

 

Toyota a une expérience de vingt-cinq ans dans la motorisation hybride et c’est tout naturellement vers cette marque japonaise que s’est tournée le constructeur Mazda pour équiper sa nouvelle citadine d’une motorisation hybride autorechargeable. Les deux autos n’ont pas un seul point commun et si la nouvelle Mazda 2 ressemble tant à la Toyota Yaris 116 h Hybride c’est que sont les mêmes (avec une longueur identique de 3,94 m), seuls les logos et quelques petits détails les différencient. Résultat, avec une telle motorisation de 116 ch la consommation mixte s’affiche à 3,8 l/100 km, une performance dans la catégorie. Il est bon de noter que la Toyota Yaris existe aussi avec deux blocs thermiques de 72 et 120 ch, avec ce dernier la consommation est de 5,2 l aux 100 km.

 

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

 

Troisième place - Honda e-HEV

 

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

 

La Honda Jazz qui se nomme Honda Fit dans d’autres pays n’est disponible en France qu’avec une motorisation hybride de 109 ch. Elle est constituée d’un bloc essence de 97 ch et des deux moteurs électriques placés à l’avant du véhicule. Cette motorisation efficiente ne consomme que 4,5 litres de carburant aux 100 kilomètres en cycle mixte WLTP. Cette quatrième génération existe en version baroudeuse Crosstar (un peu plus longue : 4,09 m au lieu de 4,04 m), voir plus loin dans le classement.

 

Quatrième place – Mazda 2

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

 

La Mazda 2 ancienne mouture est toujours en vente. Cette version est équipée de trois types de motorisation : 1.5 e-SkyActiv-G M hybrid 90 ch, 1.5 e-SkyActiv-G M 90 ch, 1.5 e-SkyActiv M Hybrid 115 ch. C’est avec la première motorisation que la Mazda prend la quatrième place de ce classement avec 4,7 l/100 km, les deux autres consommant respectivement, 5,4 l et 5 l d’essence. Pour le moment, Mazda maintient les ventes de ce modèle qui devrait être remplacé par la version hybride.

Cinquième place – Honda e-HEV Crosstar

 

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

 

Il s’agit de la déclinaison baroudeuse de la Honda Jazz e-HEV. Appelée Honda Jazz e-HEV Crosstar, cette version s’affiche avec une calandre différente, des protections plastiques tout autour du véhicule, des barres de toit. Elle est plus longue de 5 centimètres (4,09 m), plus lourde de 25 kg, cette auto dispose d’une garde au sol relevée, ce qui perturbe un peu sa consommation qui s’affiche à 4,3 l/100 km, soit 0,3 litre de plus que la version « normale ».

Sixième place – Peugeot 208

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

 

La Peugeot 208 est disponible en électrique Peugeot e-208 (dont la nouvelle version 156 ch arrivera courant 2023), elle peut également recevoir un moteur diesel de 100 ch ou bien encore trois blocs essence de 75, 100 et 130 ch. C’est le 1.2 PureTech de 100 ch qui fait partie de notre TOP 10 et qui avec une consommation de 5 litres aux 100 km se classe à la sixième place de notre TOP 10. Cette performance est réalisée avec la boîte manuelle à six rapports, car avec la boîte automatique EAT8 la consommation de carburant passe à 5,4 litres.

Sixième place ex aequo – Hyundai i20

 

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

Reprenant une base de Kia Rio, la nouvelle génération de Hyundai i20 est arrivée en 2020 et essaye de se faire une place dans la catégorie concurrentielle des citadines polyvalentes. C’est avec le bloc 1.0 T-GDi de 100 ch qu’elle réussit à contenir sa consommation à 5 l/100 km, à condition d’utiliser la boîte manuelle intelligente, avec la DCT-7, c’est 5,1 l/100 km. Grâce à sa microhybridation en 48 volts, la citadine coréenne fait jeu égal avec la Peugeot 208 et partage avec elle la sixième place. La Hyundai i20 existe aussi avec un bloc essence 1.2 de 84 ch et une version sportive Hyundai i20 N de 204 ch complète l’offre.  

Huitième place ex aequo – Opel Corsa

 

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

Avec la citadine allemande Opel Corsa qui consomme 5,1 litres d’essence aux 100 kilomètres on se trouve devant un trio de voitures qui affichent la même consommation et se retrouvent à prendre une huitième place ex aequo de ce TOP 10. Basée sur la Peugeot 208, l'Opel Corsa fait un tout petit peu moins bien que sa cousine technique avec 0,1 litre de plus de carburant aux 100 kilomètres. Comme la Peugeot 208 elle est disponible en version électrique Corsa-e, avec deux autres blocs essence de 75 et 130 ch et aussi avec un moteur diesel de 100 ch.

Huitième place – Renault Clio

 

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

La Renault Clio de cinquième génération existe avec une multitude de motorisations essence de 65, 90, 100 et 140 ch. Elle existe aussi en hybride autorechargeable de 145 ch et avec un bloc diesel de 100 ch. Ce sont les 1.0 TCe de 90 ch et 1.0 TCe 100 ch GPL qui peuvent concourir dans notre TOP 10. C’est le bloc de 90 ch associé à une boîte manuelle qui lui permet d’afficher 5,1 l/100 km. Le bloc GPL quant à lui ne peut faire mieux que 7 litres aux 100 kilomètres en cycle mixte, même si le tarif du GPL, lorsqu’on l’utilise, à la pompe permet de réaliser de belles économies. À noter que le bloc de 90 ch associé à la boîte auto (CVT) consomme 5,7 l/100 km.

Huitième place  – Skoda Fabia

 

Citadines polyvalentes essence, le TOP 10 des consommations

 

Première citadine du groupe Volkswagen, la Skoda Fabia est aussi la plus grande de toutes les citadines avec 4,11 mètres de long. Elle tire un bon parti des blocs essence TSI de 95 ch et 110 ch et c’est avec le premier d’entre eux qu’elle affiche en cycle mixte une consommation de 5,1 litres de carburant aux 100 kilomètres. Avec le bloc de 110 ch associé à une boîte DSG7, ça augmente et l'on passe à 5,6 l/100 km.

Après ce TOP 10, on trouve dans l’ordre la Seat Ibiza qui fait jeu égal avec la Volkswagen Polo. Toutes deux affichent 5,2 l/100 km avec le bloc TSI de 90 ch. À la treizième place ex aequo on trouve avec 5,3 l/100 km les Nissan Micra (1.0 IG-T 92 ch et BVM) et la Dacia Sandero (1.0 TCe 90 ch et BVM). Puis vient l’Audi A1 Sportback (30 TFSI de 110 ch et BVM), la Citroën C3 (1.2 PureTech de 110 ch BVM) et la Kia Rio (1.0 T-GDi 100 ch ISG et BVM), elles affichent toutes 5,4 l/100 km. Avec 5,6 litres on trouve la Dacia Sandero Stepway 1.0 TCe 90 ch (boîte manuelle) en dix-huitième position, alors que l’Audi A1 Allstreet (25 TFSI 95 ch) affichant 5,7 l/100 km complète ce classement.

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Ford Ranger Platinum : nouvelle version luxueuse du pick-up le plus vendu en Europe

 
                                 Ford Ranger Platinum

Ford Pro a révélé aujourd’hui le pick-up Ranger Platinum aux caractéristiques ultrasophistiquées. 

Il vient compléter la large gamme de la nouvelle génération du pick-up  le plus vendu d’Europe. Les détails et les finitions extérieures uniques soulignent le design déjà caractéristique du Ranger, assorti d’un habitacle élégant et moderne garni de cuir.

Le puissant moteur V6 turbodiesel 3,0 litres de 240 ch de Ford assure sans effort le transport et le remorquage de charges jusqu’à 3 500 kg. Les carnets de commande européens du Ranger Platinum sont ouverts dès maintenant. La production du nouveau modèle devrait commencer en mars 2023, les premières livraisons aux clients étant prévues à partir de la fin du printemps.

Le Ranger le plus luxueux de Ford Pro

Le Ranger Platinum, disponible exclusivement en version cinq places Double Cabine, est propulsé par le moteur Ford V6 turbodiesel de 3,0 litres – qui équipe également les SUV et le pick-up F-150 en Amérique du Nord – développant 240 ch et 600 Nm. Cette puissance peut compter sur le nouveau système de transmission intégrale permanente à commande électronique, combiné à la boîte de vitesses automatique à 10 rapports, avec programmation prédictive des changements de vitesse.

Le Ranger offre ainsi des performances optimales quelles que soient les conditions de route, ainsi qu’un généreux poids de remorquage freiné maximal de 3 500 kg. Il permet également de profiter de la même capacité de charge exceptionnelle que tous les pick-up Ranger, y compris une charge utile supérieure à une tonne.

Avec un style musclé, fonctionnel et une technologie supérieure, la finition Platinum coiffe la gamme au-dessus de la version Wildtrak, qui a représenté déjà 60 % des ventes de l’actuel Ranger. 

A la calandre unique et une nouvelle finition chrome satiné s’associent des nouvelles jantes en alliage de 20 pouces. Parmi les autres touches distinctives et luxueuses, on retrouve le couvre benne, les vitres surteintées et les feux de jour caractéristiques des phares matriciels à DEL. Les rails de toit ajoutent un look dynamique et un aspect pratique indéniable.

À l’intérieur, le Ranger Platinum propose un habitacle garni de cuir à des technologies intelligentes conçues pour vous faciliter la vie. Le conducteur et le passager avant bénéficient de sièges en cuir perforé et matelassé haut de gamme chauffant et climatisés avec réglage électrique en 10 directions et surpiqûres contrastées. Les textures du bois d’érable et l’éclairage intérieur ambiant contribuent à créer une atmosphère apaisante.

Le poste de conduite high-tech propose deux écrans de 12 pouces ; une dalle numérique remplace les traditionnels compteurs devant le conducteur, aux côtés du large écran tactile SYNC 4A de Ford. Le Ranger Platinum est également équipé d’un système audio B&O à huit haut-parleurs et d’un système de recharge à induction. La connectivité impressionnante repose sur le modem FordPass Connect, qui permet à plusieurs modules d’être sans cesse actualisés grâce aux mises à jour logicielles Ford Power-Up qui améliorent le véhicule au fil du temps.

En plus des systèmes d’aide à la conduite avancés et complets du Ranger Wildtrak, la finition Platinum dispose également de l’Active Park Assist avec Park Out Assist, un système d’information des angles morts avec alerte de circulation transversale et couverture de remorque, l’alerte et l’aide au changement de voie et une caméra à 360 degrés.  

La plus large gamme de pick-up Ranger jamais proposée

La série Platinum vient compléter la plus large gamme de pick-up Ranger jamais proposée par Ford Pro. En plus des modèles Raptor, Wildtrak et Limited nouvelle génération, les clients européens peuvent désormais commander les spectaculaires Ranger XL et XLT, dont les caractéristiques techniques sont adaptées aux professionnels de la construction, de la logistique et des services d’urgence.

 

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Dacia Duster Pick Up : nouvelle version GPL / 4×4 disponible en France

 
                                   Dacia Duster Pick Up - Borel  

Le Dacia Duster Pick Up n’est pas vendu sur de nombreux marchés européens, mais c’est une alternative très intéressante et attrayante. Produit en Roumanie par le spécialiste Romturingia, le Dacia Duster Pick Up, en version GPL / 4×4, arrive désormais en France, rapporte le site autonocion.com.

Importée par l’entreprise française Borel, le Dacia Duster Pick Up veut séduire les automobilistes à la conquête d’une voiture très spéciale.

Les Français intéressés par ce pick-up pourront le commander avec le moteur 1.3 TCe de 150 CV associé à la transmission intégrale 4×4 et à la boîte manuelle à six rapports. C’est donc un véhicule rapide, performant et également respectueux de l’environnement car il arrive avec un deuxième réservoir GPL.

La transformation 100 % utilitaire, laisse un intérieur pour deux occupants et un coffre arrière petit mais utilisable. Les éléments qui ont été utilisés dans cette déclinaison sont d’une qualité très supérieure. Ce Dacia Duster Pick Up jouit d’une liste d’équipement complète, mettant en avant le détecteur d’angle mort, le navigateur, les sièges chauffants ou encore l’accès sans clé.

En France, les clients peuvent accéder à ce Dacia Duster Pick Up 1.3 TCe de 150 CV et à transmission intégrale à partir de 29 900 € en finition Expression, et à partir de 34 500 € si vous optez pour la variante plus équipée adaptée au GPL.

Dacia Duster Mat Edition : 400 unités seulement pour la France

Avec plus de 2 millions d’unités vendues depuis son lancement en 2010, Duster est un modèle iconique de la marque Dacia. Les passionnés d’automobile seront comblés avec la version Duster Mat Edition.

Cette édition collector est proposée dans une configuration unique, utilisant le puissant et efficient moteur TCe 150 avec boîte automatique à double embrayage EDC au prix de 26 400€.

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Opel dévoile l’Astra Electric : 416 km d’autonomie !

 
                                             Opel Astra  

Opel ouvre un nouveau chapitre de son histoire en dévoilant les premières images de la nouvelle Opel Astra Electric, première Astra de série 100% électrique. Cette version marque une étape importante de ce modèle de la catégorie des compactes dont le succès s ‘étend sur plusieurs décennies et qui vient par ailleurs de recevoir le titre prestigieux du « Volant d’or 2022 2». Opel joue le doublé dans l’innovation : en même temps que la cinq-portes 100% électrique, la marque présente l’Opel Astra Sports Tourer Electric, premier break 100% électrique d’un constructeur allemand.

Les clients Astra auront ainsi à leur disposition un choix de motorisations encore plus important que sur tout autre modèle de la marque. En plus des moteurs thermiques très efficients, l’Astra et l’Astra Sports Tourer sont en effet déjà disponibles en versions hybrides rechargeables électrifiées, chapeautées par un nouveau haut de gamme, l’Astra GSe. Cette offre de groupes motopropulseurs sera donc bientôt complétée par l’Astra 100% électrique, qui sera disponible à la commande à partir du printemps 2023.

Le plaisir responsable : la passion et la raison, sans émissions

Le courant va passer entre les clients et les nouvelles Opel Astra Electric et Opel Astra Sports Tourer Electric. Comme toutes les Astra, elles séduisent par leur design sobre et épuré, mais aussi par leurs performances responsables. La nouvelle Astra Electric offre un pur plaisir de conduite sans émissions. Le moteur électrique délivre une puissance de 115 kW/156 ch et un couple maximum de 270 Nm, tous deux disponibles dès la première pression sur la pédale d’accélérateur, ce qui garantit des démarrages vifs et des reprises convaincantes. Et alors que de nombreuses autres voitures électriques sont limitées à 150 km/h ou 160 km/h, la nouvelle Astra Electric peut atteindre une vitesse maximale de 170 km/h. Selon leurs préférences de conduite, les conducteurs d’Astra Electric peuvent choisir entre les trois modes Eco, Normal et Sport.

L’énergie est stockée dans une batterie lithium-ion de 54 kWh. Les 102 cellules de la batterie sont logées dans 17 modules et permettent à la nouvelle Astra Electric de parcourir jusqu’à 416 kilomètres, conformément à la norme WLTP1. Les ingénieurs ont accordé une importance particulière à la qualité de l’implantation et sont parvenus à garantir une autonomie exemplaire avec une batterie de taille compacte. La nouvelle Astra Electric se contente de 12,7 kWh aux 100 kilomètres (14,9 kWh/100 selon les normes WLTP3).

3 Valeurs préliminaires déterminées à l’aide de la méthode d’essai plus réaliste WLTP (Worldwide harmonised Light vehicles Test Procedure) qui remplace la procédure d’essai NEDC (New European Driving Cycle). La consommation, les émissions de CO2 et l’autonomie d’un véhicule ne dépendent pas seulement de l’utilisation efficace de l’énergie par le véhicule, mais sont également influencées par le style de conduite et d’autres facteurs non techniques. Les informations sur la consommation et les émissions ne se réfèrent pas à un véhicule individuel et sont uniquement destinées à des fins de comparaison entre les différents types de véhicules. Véhicule pas encore disponible.

Cette sobriété en fait un véhicule remarquable par son efficience en usage courant dans les parcours urbains, mais lui permet aussi de gagner du temps sur les longs trajets. Lorsque l’Astra 100% électrique doit être rechargée, il suffit d’un arrêt de courte durée à une borne : l’Astra électrique peut en effet être rechargée à 80% de la capacité de sa batterie en 30 minutes environ dans une station de recharge rapide à courant continu de 100 kW. De plus, l’Astra 100% électrique est équipée en série d’un chargeur embarqué triphasé de 11 kW qui permet de la brancher chez soi sur une wallbox.

Les batteries sont astucieusement logées dans le soubassement de la voiture, ce qui évite de prendre de l’espace dans l’habitacle au détriment des passagers et des bagages. Même avec les sièges arrière en place, l’Astra Sports Tourer Electric offre 516 litres d’espace pour les bagages. Avec les sièges rabattus, la capacité passe à 1 553 litres. Autre avantage : l’implantation basse de la batterie confère à l’Astra Electric et à l’Astra Sports Tourer Electric un comportement routier franc et sûr, comme il se doit chez Opel.

A l’intérieur comme à l’extérieur : vivre intensément la mobilité électrique

L’intérieur contribue aussi à profiter intensément de l’expérience de conduite : les sièges ergonomiques Active Sport, disponibles en option en Alcantara, offrent aux conducteurs et aux passagers de l’Astra Electric le plus haut niveau de confort d’assise. Les sièges, certifiés par l’Aktion Gesunder Rücken e.V. (AGR, association pour la santé du dos), offrent un excellent maintien latéral et une large gamme d’options de réglages manuels et électriques. Ainsi, le conducteur fait parfaitement corps avec sa voiture et éprouve une sensation unique au volant.

Le Pure Panel entièrement numérique, doté de deux grands écrans de 10 pouces, plonge également le conducteur dans un monde de modernité. La dernière génération d’interface homme-machine intuitive affiche toutes les fonctions importantes, telles que l’état de charge de la batterie ou l’autonomie, tandis que les paramètres essentiels comme la climatisation peuvent toujours être réglés facilement par simple appui sur un bouton. Avec le grand affichage tête haute E-HUD et la reconnaissance vocale naturelle, le conducteur peut garder les yeux sur la route et rester attentif au trafic. De nombreux systèmes d’assistance, de l’alerte anticollision frontale avec freinage d’urgence automatique à l’assistance active au maintien dans la voie, en passant par la détection de la somnolence, l’alerte de trafic transversal arrière ou le changement de voie semi-automatique, sont intégrés au nouveau système Intelli-Drive 2.0. Parmi d’autres équipements, ils renforcent encore la sécurité, tout comme l’éclairage Intelli-Lux LED® Pixel Light adaptatif, le meilleur de sa catégorie, qui comprend un total de 168 segments de LED.

La ligne de la nouvelle Astra Electric montre clairement qu’elle a le dynamisme dans ses gènes. Reprenant le design affirmé et épuré du constructeur, l’Astra 100% électrique arbore l’Opel Vizor, la face avant emblématique de la marque, et se pare d’un bouclier avant au design très sportif sur tous les niveaux de finition. Les jantes alliage de 18 pouces de série, en finition diamantée ou entièrement noire, soulignent l’ambition de la voiture. Dans ce domaine aussi, la nouvelle Opel Astra Electric le proclame avec fierté : la compacte d’Opel ouvre un nouveau chapitre en misant sur l’émotion, et pour la première fois, sur le 100% électrique.

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Airbus et Renault Group font avancer la recherche sur l’électrification

 
                                       Partenariat Recherche et Developpement Renault Group Airbus  

Un partenariat qui contribue au développement des technologies associées aux systèmes de batteries de nouvelle génération.

Airbus et Renault Group, leaders mondiaux de l’industrie aérospatiale et automobile, ont signé un accord de recherche et développement pour renforcer les transversalités et les synergies et répondre aux besoins d’électrification des deux entreprises, en améliorant leur gamme de produits respective. Ce partenariat permettra à Airbus de faire mûrir les technologies associées aux futurs avions hybrides-électriques et sera détaillé lors de l’Airbus Summit qui se tiendra les 30 novembre et 1er décembre.

Dans le cadre de ce partenariat, les équipes d’ingénieurs d’Airbus et de Renault Group uniront leurs forces pour faire évoluer les technologies liées au stockage de l’énergie, qui reste l’un des principaux obstacles à l’autonomie des véhicules électriques. La collaboration portera notamment sur les briques technologies liées à l’optimisation de la gestion de l’énergie et à l’amélioration du poids des batteries, et permettra d’étudier les meilleures options pour doubler la densité énergétique des batteries à l’horizon 2030, en passant de cellules actuelles chimiques (lithium-ion avancé) à des conceptions entièrement solides.

Le travail conjoint portera également sur le cycle de vie complet des futures batteries, de la production à la recyclabilité, afin de préparer l’industrialisation de ces futurs modèles de batteries tout en évaluant leur empreinte carbone sur l’ensemble de leur cycle de vie.

« POUR LA PREMIÈRE FOIS, DEUX LEADERS EUROPÉENS ISSUS DE SECTEURS DIFFÉRENTS PARTAGENT LEURS CONNAISSANCES TECHNIQUES POUR FAÇONNER L’AVENIR DES AVIONS HYDRIDES-ÉLECTRIQUES. L’AVIATION EST UN DOMAINE EXTRÊMEMENT EXIGEANT EN TERMES DE SÉCURITÉ ET DE CONSOMMATION D’ÉNERGIE, TOUT COMME L’INDUSTRIE AUTOMOBILE. AU SEIN DE RENAULT GROUP, NOS 10 ANNÉES D’EXPÉRIENCE DANS LA CHAÎNE DE VALEUR DU VÉHICULE ÉLECTRIQUE NOUS PERMETTENT DE BÉNÉFICIER DE L’UN DES MEILLEURS RETOURS D’EXPÉRIENCE TERRAIN QUI EXISTE ET D’UNE VÉRITABLE EXPERTISE DANS LA PERFORMANCE DES SYSTÈMES DE GESTION DES BATTERIES. PORTÉES PAR LA MÊME AMBITION D’INNOVER ET DE RÉDUIRE L’EMPREINTE CARBONE, NOS ÉQUIPES D’INGÉNIEURS ÉCHANGENT AVEC CELLES D’AIRBUS POUR FAIRE CONVERGER DES TECHNOLOGIES TRANSVERSALES QUI PERMETTRONT À LA FOIS D’EXPLOITER DES AVIONS HYBRIDES ET DE DÉVELOPPER LES VÉHICULES DE DEMAIN » 

GILLES LE BORGNE, DIRECTEUR DE L’INGÉNIERIE, RENAULT GROUP.

« CE PARTENARIAT INTERSECTORIEL AVEC RENAULT GROUP NOUS AIDERA À FAIRE ÉMERGER LA PROCHAINE GÉNÉRATION DE BATTERIES DANS LE CADRE DE LA ROADMAP D’AIRBUS EN MATIÈRE D’ÉLECTRIFICATION » « ATTEINDRE DES ÉMISSIONS NETTES DE CARBONE NULLES D’ICI 2050 EST UN DÉFI UNIQUE QUI NÉCESSITE UNE COOPÉRATION ENTRE LES SECTEURS, DÈS AUJOURD’HUI. EN ASSOCIANT L’EXPÉRIENCE DE RENAULT GROUP DANS LE DOMAINE DES VÉHICULES ÉLECTRIQUES À NOS PROPRES RÉSULTATS EN MATIÈRE DE DÉMONSTRATEURS DE VOL ÉLECTRIQUE, NOUS POURRONS ACCÉLÉRER LE DÉVELOPPEMENT DES TECHNOLOGIES DISRUPTIVES NÉCESSAIRES AUX FUTURES ARCHITECTURES D’AVIONS HYBRIDES DANS LES ANNÉES 2030 ET AU-DELÀ. CELA FAVORISERA ÉGALEMENT L’ÉMERGENCE DE NORMES TECHNIQUES ET RÉGLEMENTAIRES COMMUNES À L’APPUI DES SOLUTIONS DE MOBILITÉ PROPRE NÉCESSAIRES POUR ATTEINDRE NOS OBJECTIFS CLIMATIQUES. »

SABINE KLAUKE, DIRECTRICE DE L’INGÉNIERIE, AIRBUS.

Les tendances technologiques évoluent dans la même direction. La collaboration d’Airbus et de Renault Group en matière d’électrification jouera un rôle important dans le changement du paysage des transports, en contribuant avec succès à l’ambition du zéro émission nette d’ici 2050, tant dans le secteur automobile que dans celui de l’aviation.

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                   Lamborghini Huracan Sterrato (2023) 

 

Quelques jours après la Porsche 911 Dakar, Lamborghini lève officiellement le voile sur la Huracan Sterrato. Cette version tout-terrain d’un genre nouveau se limitera à 1 499 exemplaires et promet une expérience de conduite très spéciale.

                        Version "tout-terrain" de la Huracan, la Sterrato se limitera à 1 499 exemplaires

 

Version "tout-terrain" de la Huracan, la Sterrato se limitera à 1 499 exemplaires
 

Il faut croire que les Français d’Aixam avaient raison trop tôt. 30 ans après la sortie de l’extravagante Mega Track, cette étrange supercar tout-terrain au physique hors normes, les constructeurs d’exception se mettent eux aussi à proposer des sportives converties aux chemins de terre. Quelques jours après la présentation de la Porsche 911 Dakar, voilà la Lamborghini Huracan Sterrato.

 

                                      La Sterrato est la sportive la plus lente de toute l'histoire de Lamborghini

 

La Sterrato est la sportive la plus lente de toute l'histoire de Lamborghini

La formule est à peu près la même que pour l’Allemande : vous prenez une super-sportive habituellement conçue pour avaler du tarmac bien lisse, vous rehaussez sa suspension et vous la renforcez. La Sterrato roule 44 millimètres plus haut qu’une Huracan classique, avec une suspension semble-t-il non réglable électriquement contrairement à celle de la 911 Dakar. Équipée de soubassements renforcés et de suspensions adaptées, la Sterrato chausse des Bidgestone Dueller AT002 dignes de vrais 4x4 purs et durs. A cause de ces gommes, elle limite d’ailleurs sa vitesse de pointe à 260 km/h. Dans toute l'histoire de Lamborghini, seul le LM002 était encore plus lent !

 

                         Oserez-vous la mettre dans la boue ?

 

Oserez-vous la mettre dans la boue ?

610 chevaux hurlants

Sous le capot, la Sterrato garde le fameux V10 atmosphérique de la Huracan dans une version à 610 chevaux et 565 Nm de couple, accouplé à la transmission intégrale de l’Evo. La masse augmente de 48 kilos (1 470 kg) par rapport à cette dernière mais le 0 à 100 km/h de demande que 3,4 secondes (9,8 secondes pour le 0 à 200 km/h). On est curieux de voir jusqu’où cette Huracan très particulière pourrait aller en dehors des sentiers battus. Probablement un peu moins loin que la 911 Dakar, dont la suspension semble plus poussée vers le tout-terrain. Mais l’Italienne chantera beaucoup mieux…

1 499 exemplaires

Lamborghini ne montre pour l’instant pas l’intérieur de la voiture et ne donne pas le prix, mais on sait que la Sterrato se limitera à 1 499 exemplaires. Les livraisons débuteront en février 2023. Elle a plus de gueule qu’un Urus, non ?

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              Le Ferrari Purosangue victime de son succès

 

Ferrari est totalement débordé par le succès de son SUV, à tel point que le carnet de commande est fermé.

                                        Si vous souhaitez acquérir un Ferrari Purosangue, il va falloir attendre minimum deux ans.

 

Si vous souhaitez acquérir un Ferrari Purosangue, il va falloir attendre minimum deux ans.
 

Après avoir indiqué en septembre que les commandes du Purosangue avaient explosé, Ferrari se voit désormais dans l’obligation de clore les prises de commande. C’est ce qu’a annoncé Enrico Galliera, le responsable commercial et marketing de Ferrari, auprès de nos confrères australiens du site Drive. Ainsi, les clients qui rêvent d'admirer leur Purosangue dans leur garage devront attendre deux ans ! La marque souhaite produire au maximum 3 000 exemplaires par an. Logiquement, 6 000 unités sont déjà commandées.

Si l’engouement d’un nouveau modèle est une bonne surprise, Ferrari se trouve un peu dans l’embarras. En effet, la firme italienne ne souhaite pas que son SUV représente plus de 20 % de la production de toute la gamme. Malgré la réticence des puristes de la marque, beaucoup de volontaires sont donc prêts à débourser au bas mot 390 000 €, hors option.

 

Un V12 qui a la cote

Le Ferrari Purosangue est un cheval à part dans le monde des SUV. Sous son capot se cache un V12 atmosphérique lorsque beaucoup de ses concurrents utilisent un V8 bi-turbo, moins « noble ». Le bloc italien 6,5 l ne développe pas moins de 725 ch et propulse la bête jusqu’à 100 km/h en 3,3 secondes.

En attendant, les clients fortunés qui souhaitent absolument rouler dans le Purosangue devront se rabattre vers les modèles qui sortiront d'usine et qui se retrouveront sur le marché de la seconde main. Mais les prix pourraient alors s'envoler...

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